La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-Unis), en 2009.
#Ville
► Villes intelligentes : les meilleurs au monde ne font pas qu’adopter les nouvelles technologies, ils les font fonctionner pour les gens. Les villes deviennent rapidement « intelligentes » et l’impact sur la vie des gens peut être immense. Les caméras de circulation intelligentes de Singapour limitent le trafic en fonction du volume et facilitent le trajet quotidien de milliers de passagers. À Kaunas, en Lituanie, le coût du stationnement est automatiquement déduit des comptes bancaires des conducteurs lorsqu’ils garent leur voiture. Dans de nombreuses villes, les horaires des autobus publics sont annoncés à chaque arrêt avec une précision presque parfaite. Aujourd’hui, l’amélioration des services urbains par la transformation numérique est une industrie gigantesque, dominée par Cisco et IBM. Mais l’idée d’une «ville intelligente» englobe plus que l’application intelligente de la technologie dans les zones urbaines. Cette technologie doit également contribuer à rendre les villes plus durables et à améliorer la qualité de vie de leurs habitants. @ConversationUK. Légende image : Smart city Singapore. Larry Teo/Unsplash., FAL.
#Agriculture
► Indre-et-Loire : ils ont fait le choix de la permaculture ! Il a fallu moins d’une décennie pour que la permaculture pousse sa corne dans la sphère agricole. A l’origine du mouvement ? Un désir de culture éthique, raisonnable et naturelle qui tend à ramener le goût, le vrai, dans les assiettes. « J’ai appelé mon jardin : le champ de pagaille. Ici tout fleurit à son gré, moi, j’étudie, j’accompagne et ça pousse bien ! » Dans sa micro-ferme de Chédigny (Indre-et-Loire), Xavier Mathias papillonne de plante en arbre, caresse les feuilles, dorlote les fruits. La révolution agricole qui l’anime depuis toujours a gagné son nom au fil des ans : « permaculture ». La permaculture, c’est l’art de cultiver et récolter sans tyranniser les végétaux ou les sols, en omettant les énergies fossiles et les adjuvants chimiques. Pour faire simple : Xavier le maraîcher est un adepte d’un culte salutaire, un hymne à la vie ! @franceinfo.
#Logement
► Facebook promet un milliard de dollars pour lutter contre la crise du logement en Californie. Facebook va allouer 1 milliard de dollars à la construction de logements abordables en Californie a annoncé mardi le réseau social, dont le siège est situé à Menlo Park, au sud de San Francisco. Ce fond servira à construire des logements abordables et comprendra des terrains déjà possédés par le Facebook, qui accueilleront désormais des appartements. Le réseau social souhaite ainsi lutter contre la crise du logement que connaît la Californie, en partie causée par les entreprises de la Silicon Valley dont la main-d’œuvre qualifiée, venue en masse dans la région pour travailler, a fait grimper les prix. Un ménage qui gagne 100.000 dollars (environ 90.000 euros) par an à San Francisco est ainsi placé dans la catégorie des «faibles revenus», selon le directeur financier de Facebook David Wehner. @Le_Figaro
#Energie
► Saint-Malo : retour de l’Energy Observer pour une escale de quatre mois. Après sept mois de navigation, Energy Observer a regagné Saint-Malo. Pour sa troisième année d’expédition, le navire futuriste a exploré le Grand Nord. Une virée de plusieurs milliers de kilomètres dans les glaces. L’un des objectifs de cette mission était de mettre les technologies du bateau à l’épreuve du froid. Dans ce navire, l’énergie utilisée est 100% renouvelable. Qu’elle soit éolienne, hydrolienne ou solaire. Ces composants permettent à Energy Observer de créer son propre carburant : l’hydrogène. A bord du bateau, l’hydrogène a permis au navire de faire un gain de poids considérable par rapport à une solution de stockage de batterie électrique. Energy Observer est ainsi le premier navire à hydrogène visant l’autonomie énergétique, sans émission de gaz à effet de serre ni particules fines. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.
► Ancien officier de la Royal Navy il invente une batterie électrique révolutionnaire. lors que certains pensent déjà que l’avenir des voitures électriques est compromis à cause de leur faible autonomie, cet ancien officier de la Royal Navy pourrait bien les faire changer d’avis. En effet, l’homme originaire de Grande-Bretagne vient de dévoiler une batterie électrique qui permettra aux conducteurs de rouler sur plus de 2 400 kilomètres sans avoir besoin de se recharger. Cette invention pourrait bien changer radicalement la face du monde des véhicules électriques. En effet, cette nouvelle batterie électrique serait capable d’alimenter des bus, des camions de transport et même des avions. Autre point important : elle peut également être facilement recyclée, et c’est un détail qui change tout par rapport aux batteries actuelles. @siecledigital
#Logement
► Sur un chantier à Bruay-sur-l’Escaut, une immense imprimante 3D pilotée par un ordinateur à distance reproduit millimètre après millimètre les plans d’une maison. Il faut compter 24 heures pour monter les quatre murs de ce bâtiment de plus de 50 m². La jeune entreprise valenciennoise Construction-3D a comme objectifs de permettre la construction rapide, répétable, écologique et économique de maisons et de résoudre la crise du logement. « Ça veut dire, imprimer une maison par jour avec chaque machine. Le sujet, c’est d’apporter une solution d’automatisation qui va résoudre des problèmes dans des pays en voie de développement », explique Antoine Motte, directeur de Construction-3D. @franceinfo.
#Déchets
► Lille : ils utilisent les déchets de bière pour fabriquer des biscuits. « La première étape pour faire de la bière c’est de tremper des céréales dans de l’eau chaude pour récupérer le sucre », apprend Caroline Gauthier il y a deux ans en visitant une brasserie. Avec Christophe Uliasz, ils ne connaissent rien au processus de fabrication mais s’interrogent ; que faire de la drêche, ce résidu de céréales une fois la boisson fermentée ? Les deux Nordistes décident alors d’élaborer des recettes dont la céréale, vidée de son sucre mais trois fois plus riche en vitamines, sera le produit star. Ils récupèrent la drêche au fond des cuves et n’ont ensuite que quelques heures avant que le produit ne devienne impropre à la consommation. @franceinfo.
#Cryptomonnaie
► Révolution ou flop potentiel ? L’article à lire pour comprendre la Libra, la cryptomonnaie de Facebook. Simples turbulences ou crise existentielle ? Présenté mi-juin dans l’excitation générale, Libra, le projet de cryptomonnaie lancé par Facebook, traverse une période délicate. Le 11 octobre, les géants du paiement Visa, Mastercard, Paypal et Stripe, rapidement suivis par eBay et Booking, ont annoncé le retrait de leur participation au programme, qui fait face à une opposition croissante des institutions du monde entier. Signe de l’inquiétude provoquée par ce projet, le patron du réseau social, Mark Zuckerberg, a été convoqué mercredi 23 octobre par une commission parlementaire américaine. En quoi consiste ce projet ? Comment fonctionne-t-il ? Faut-il le craindre ? @franceinfo fait le tour de la question.
► Libra : la monnaie de Facebook qui fait pschitt. C’est peu dire qu’on a connu lancement plus euphorique. Le 14 octobre, le consortium d’entreprises portant la libra, la désormais fameuse cryptomonnaie mondiale imaginée par Facebook, se réunissait officiellement pour la première fois à Genève. Une petite sauterie qui devait, symboliquement, poser la première pierre de cet ambitieux projet dévoilé en grande pompe au printemps. Oui mais voilà : en à peine quinze jours, cette devise numérique censée révolutionner le paiement a sérieusement pris du plomb dans l’aile. Déjà allègrement pilonnée par les autorités publiques, elle est désormais lâchée par ses soutiens de la première heure. Les défections fracassantes des géants Booking et eBay, et, plus grave encore, de PayPal, Visa et Mastercard, trois poids lourds du monde de la finance sur lesquels Facebook comptait pour crédibiliser son projet, ont calmé tout le monde. Les membres qui ne sont pas partis, comme Uber, Iliad ou Spotify, sont dans leurs petits souliers et n’ont pas souhaité répondre à nos sollicitations. Seul le très libéral et technophile Xavier Niel ose encore se payer une tribune pro-libra dans Les Echos… @LExpress
#IA
► L’intelligence artificielle au service de la communication. « Tout le monde ne connaît pas la langue des signes alors les sourds s’obligent à prononcer les mots. Et comme ils n’entendent pas, c’est compliqué de comprendre leur voix », explique le journaliste Anicet Mbida. Ainsi, un ingénieur de Google a mis au point une application qui permet de convertir sa façon de parler et la retranscrire sur un téléphone portable. « C’est beaucoup plus facile quand il est avec ses collègues. Ce n’est pas limité aux sourds, cela peut aussi servir à quelqu’un qui a la sclérose en plaques ou quelqu’un victime d’un AVC, qui ont parfois des difficultés d’élocution », poursuit le journaliste. Il est également possible d’avoir une conversation vocale entre une personne sourde et une autre au téléphone. « Cela fonctionne avec un système où l’on tape avec le clavier de son téléphone. C’est converti en voix au locuteur et quand il répond, l’opération inverse est effectuée. On a l’impression d’avoir une conversation vocale ». Il existe aussi des outils pour traduire la langue des signes. Un gant est aussi capable de retranscrire les mouvements, mais il est très cher. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.
► Plan IA 2021 : un an après, où en est l’Île-de-France ? Google, Facebook, Huawei ou encore IBM ont déjà installé une partie de leurs centres de R&D en Île-de-France. Preuve du caractère attractif et de la qualité des universités et des centres de recherches français en matière d’intelligence artificielle. Pour asseoir son leadership, la Région a lancé l’an dernier son plan IA 2021: 15 mesures destinées à accompagner l’offre IA dans le tissu économique francilien. Parmi les idées phares: faciliter l’accès à l’intelligence artificielle aux PME, accroître l’offre de formations, organiser des challenges, développer l’offre de recherches en Intelligence artificielle pour les PME, nouer des partenariats avec l’étranger et créer une gouvernance de l’Intelligence artificielle. Un an plus tard, deux mesures sont sorties de terre : le pack IA et le Challenge AI for Industry 2019. Les autres actions annoncées, pour certaines plus complexes à mettre en oeuvre, devraient suivre d’ici les deux prochaines années. Maddyness fait le point avec Alexandra Dublanche, vice présidente de la région Île-de-France en charge du développement économique. Lire la suite de l’article sur le site @bymaddyness