Publié par publiquel le
La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.
#Entreprise
► Deux combats longs et démesurés où les petits sortent victorieux et les géants sont condamnés. Sylvie et David habitent à Bosc-le-Hard, un petit bourg de campagne à une trentaine de kilomètres au nord de Rouen. Pendant trois ans, ils tiennent une supérette Casino en tant que « co-gérants mandataires », un statut à mi-chemin entre celui d’indépendant et celui de salarié. Jusqu’au jour où le groupe leur réclame 33 000 euros au motif d’inventaires déficitaires… Philippe est artisan boulanger depuis quinze ans à Bourg-Lastic, un village auvergnat de huit cent habitants. Un soir de mai 2017, il découvre qu’une page Facebook dégradante a été créée au nom de sa boulangerie, à son insu. Pour faire supprimer cette page définitivement, il est contraint de s’attaquer à Facebook. Lire la suite sur le site de @franceculture. Crédits : Dimitri Iundt.
#Ville
► Chaire Smart City : pourquoi les industriels azuréens y vont. A quoi ressemblera la ville de demain ? Il n’est pas nécessaire d’être un super-expert pour en dessiner les grandes lignes : dense donc verticale, intelligente donc connectée. Hyper connectée même si l’on se fie aux cabinets Gartner et Idate qui estiment entre 20 milliards – pour l’Américain – et 80 milliards – pour le Français – le nombre de capteurs attendus en 2020. « Et l’homme dans tout cela ? » s’interroge la philosophe Laurence Vanin. Surbooké, connecté, certes pas encore augmenté, mais « déjà déshumanisé« . Alors, « puisque nous vivons, avec la révolution de l’habitat et des technosciences, un changement de modèle de vie et de société, profitons-en pour réinjecter de l’humain dans ce tout technologique et reconsidérer la place de l’homme au cœur de ces agglomérations du futur ». Et ce, « en fédérant les réflexions pour penser l’avenir« . (@latribunepaca).
#Transport
► Bordeaux: Une startup spécialisée sur la recharge de véhicules électriques lève un million d’euros. En novembre 2016, la société girondine Greenspot a lancé une station de recharge électrique et un service de nettoyage sans eau, à proximité du Carrefour Market de Caudéran. Les clients du magasin peuvent y profiter d’une charge rapide (de 20 à 30 minutes) de leurs véhicules hybrides ou électriques pendant qu’ils font leurs courses. Après le succès de cette station présentée comme une vitrine, l’entreprise vient de lever un million d’euros auprès d’investisseurs régionaux pour installer des bornes de charge pour tous véhicules électriques (voitures, scooters, vélos) à proximité de lieux de consommation (centres commerciaux, groupes hôteliers et de restauration, casinos et cinémas etc.) en France. (@20minutes).
#Wifi
► Osmozis, le Wi-Fi des grands espaces. En vacances, le smartphone a rejoint la brosse à dents parmi les accessoires indispensables. Comment se passer du réseau pour obtenir toutes les informations nécessaires au bon déroulement du séjour ? Le tourisme est désormais connecté, une nouvelle donne dont la start-up montpelliéraine Osmozis entend bien profiter. Créée en 2005 par le centralien Gérard Tremblay, elle s’est tout d’abord attaquée au marché des campings et des villages de vacances en les équipant de réseaux Wi-Fi. En France, 23% des campings connectés ont adopté sa technologie. Osmozis, cotée sur Alternext depuis un an, veut désormais passer à la vitesse supérieure en connectant les communes touristiques. Risoul, dans les Alpes, Gruissan et Le Cap d’Agde, au bord de la grande bleue, offrent du réseau à leurs visiteurs grâce à des bornes Wi-Fi. L’Union européenne a en effet débloqué un budget de 120 millions d’euros pour équiper de 6 000 à 8 000 collectivités locales d’ici à 2020. Une manne pour l’entreprise, également présente en Allemagne, en Italie et en Espagne. (@LExpress).
#Data
► RGPD, un fort bel outil à double tranchant. L’édito par Jean-Marc Vittori. Fondement de la croissance au XXIe siècle. Formidable menace sur la démocratie. Le maniement des données personnelles, que chacun d’entre nous laisse chaque jour par centaines voire par milliers dans la Toile numérique, constitue un enjeu essentiel, à la fois politique, économique, social et culturel. Il est au coeur de l’activité des GAFA et des BATX, ces firmes géantes du numérique devenues les premières capitalisations boursières mondiales. Il est aussi au coeur d’un immense scandale, le pompage des données de dizaines de millions d’adeptes du réseau social en ligne Facebook par la firme Cambridge Analytica pour promouvoir la candidature de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Lire la suite sur le site @LesEchos.
► Marseille dévoile sa plateforme de Big Data pour « plus de sérénité ». Ce n’est pas un hasard du calendrier. Caroline Pozmentier, adjointe LR à la sécurité à la mairie de Marseille présentait ce vendredi la nouvelle plateforme municipale de données. Le jour même de l’entrée en vigueur du règlement général sur la protection des données (RGPD). Si elle n’est pas encore opérationnelle, elle le sera d’ici « l’été ou au maximum à la rentrée », a annoncé Caroline Pozmentier. Cette plateforme regroupe différentes données publiques de la mairie et de partenaires, afin de faciliter les prises de décisions et les orientations en matière d’action publique. Elle a coûté près d’1,5 million d’euros. 20 Minutes vous explique tout. La plateforme municipale de données va regrouper l’ensemble des données publiques dont dispose la mairie de Marseille. (@20minutes).
#JeuVidéo
► Jouer pour faire avancer la science. Certains jeux vidéo permettent de repérer des exoplanètes, de modéliser le cerveau ou de détecter Alzheimer. A vos manettes! C’est un monde virtuel immense, composé de milliers de planètes. Un univers de pixels dans lequel chaque joueur crée son avatar et s’invente une nouvelle vie. Les plus téméraires y sillonnent l’espace à bord de vaisseaux de combat, prêts à dézinguer le moindre appareil ennemi. Les plus « intellos » optent pour le commerce de matières premières, la finance ou même la politique au sein de vastes alliances ! Bienvenue dans Eve Online, un jeu vidéo très prisé des « gamers ». Son but est de trouver de nouvelles exoplanètes. Une mission identique à celle de Tess, un satellite d’observation lancé récemment par la Nasa ! Un jeu vidéo au service de la science ? « Nos joueurs sont bien souvent des amateurs de sciences. Ils s’informent des progrès technologiques récents. Ils aiment explorer de nouvelles choses, résoudre des problèmes complexes. Découvrir une exoplanète, cela les motive », confirme un développeur d’Eve Online. (@LExpress). A lire aussi :